L'Énigme du Rubis

🕵🏻‍♀️🔴L’énigme du Rubis🔴🕵🏻‍♀️
Jennifer Dalrymple
Scrinéo
Date de parution : 12/09/2024.
Merci @netgalleyfrance et @scrineo pour le SP numérique
Note : 5 / 5

Résumé :
1866.
Dans un Paris bouleversé par les grands travaux d’Haussmann, un charbonnier est retrouvé mort, brutalement assassiné. Un coupable est vite désigné. Trop rapidement pour Prospérine, la fille du commissaire adjoint qui veut aider son père à résoudre l’enquête. Mais comment agir dans une société qui muselle les femmes ? Alors que les dangers la menacent de toutes parts et que sa tante manœuvre pour l’envoyer au pensionnat comme toute jeune fille de bonne famille, Prospérine résiste. Hors de question de se laisser enfermer ! Délaissant corset et crinoline, elle s’élance sur les toits de la ville et prend son destin en main.
Une jeune héroïne mène l’enquête et s’émancipe dans un Paris bouleversé par Haussmann

Avis :

✒Un roman jeunesse d’aventure qui vous fera voyager dans le Paris Haussmannien.
✒De belles valeurs sont mises en avant comme l’aventure, l’amitié, le désir d’émancipation.
✒J’ai aimé l’histoire, le personnage de Prospérine, une jeune fille pleine de détermination, persévérante, courageuse, qui se révèlera être une enquêtrice obstinée.
✒La description des lieux et des personnages va parfaitement avec l’histoire détaillée, bien écrite, suffisamment pour nous permettre d’imaginer le Paris de l’époque.
✒Les illustrations viennent parfaire ce roman d’aventure à découvrir.
✒Une nouvelle enquêtrice qui n’a pas fini de faire parler d’elle.
✒Une jolie découverte qui devrait plaire à de nombreux lecteurs.

Une ado enquête dans le Paris Haussmannien.
J'ai demandé ce livre parce que la couverture me plaisait sans faire attention qu'il s'agissait d'un roman jeunesse.
J'ai été agréablement surprise. L'intrigue est bien construite, le dénouement se fait tout en douceur.
La majorité des codes du cosy mystery est présente : une héroïne avec de la personnalité, un contexte historique intéressant, la ville de Paris qui est un personnage.
Le lecteur, quelque soit son âge, fait une agréable découverte.
Merci à #netgalley et à #scrineo

Paris, 1866. Un charbonnier est découvert mort dans la cour d'un immeuble, rue du Four. Franchement débarquée de Tours, Prospérine Cerisier, 15 ans, vit avec son père médecin, devenu Commissaire adjoint par le jeu des influences. Il mène l'enquête sur la mort du charbonnier, introduisant de nouveaux méthodes d'investigations. Prospérine, dont l'esprit curieux, va mener l'enquête avec l'aide d'un jeune ramoneur, Féfé dans les rues du Paris Haussmannien avec ces boulevards en constructions et ces bas fonds miséreux sur l'île Saint Louis ou au-delà des fortifications.

Jennifer Dalrympie nous transporte dans le Paris de la seconde moitié du Second Empire, celui que le Baron Haussmann transforme la Capitale telle que nous la connaissons aujourd'hui. Ce Paris en pleine ébullition, où les provinciaux arrivent en masse, où les revers de fortunes poussent même les anciennes familles aristocratiques à truander, et à faire des affaires avec les chefs de bandes des quartiers mal famés. Lors des pérégrinations de l'héroïme, on entend presque le bruits des travaux, les vendeurs à la criée...
L'auteure a également bien montrer l'opposition entre la haute bourgeoisie d'affaire parisienne et la bourgeoisie provinciale dans les scènes familiales dans le maison des Décluse, l'oncle et la tante de Propérine. Alors que ces derniers se conforment à une certaine éthique, Propérine et son père qui prônent l'ouverture d'esprit et l'éducation des filles en dehors des conformismes de l'époque.
Bien que l'enquête soit un peu lente, l'auteure a réussi à montrer le processus de réflexions des enquêteurs à la recherche des indices, y compris avec des méthodes atypiques pour l'époque.
Mais au-delà de l'enquête policière, Jennifer Dalrympie aborde la condition féminine, les violences et le racket organisés par certains éléments de la Maréchaussée qui va devenir nos gardiens de la Paix et l'instruction de méthodes scientifiques dans les enquêtes. Sous sa plume simple, mais pleine de justesse, malgré quelques maladresses de traductions, le lecteur découvre la fracture entre la vie des plus aisés et la misère dans laquelle vivent les plus pauvres. On apprécie la présence de l'argot des gamins des rues. Et les ambitions des femmes à devenir médecin, voire enquêtrice!

Une lecture recommandée à partir de 14 ans.

4.5 ⭐

Une lecture jeunesse que j'ai dévorée!
J'ai ressenti les vibes à la Enola Holmes tout du long et je recommande vivement à ceux qui aiment les romans ou les films. C'est vraiment bien pensé et intéressant du début à la fin. Pareil pour ce qui est du rythme. Je me suis laissée embarquer d'un chapitre à l'autre sans ne jamais m'ennuyer où que l'action soit en suspens. J'ai adorée découvrir le tout jeune Paris haussmannien sous les yeux de Prospérine, héroïne intelligente et féministe, ainsi que sa relation avec les autres personnages. J'ai particulièrement aimée celles qu'elle entretient avec son père et sa tante qui changent pas mal des clichés que l'on peut voir sur ces types de personnages.
A la rigueur, le seul détails qui m'a un peu froissée, c'est cette histoire de chien. Je comprends ce que l'autrice a voulu pointer ici, mais j'aurais préférée qu'elle le remplace par quelque chose de moins sordide.
Maintenant, j'espère vraiment qu'on pourra suivre Prospérine dans d'autres aventures !

Une vraie pépite !

"Une enquête de Prospérine Cerisier : L’énigme du Rubis" est un polar historique plein d'humour noir qui tient toutes ses promesses !
Une jeune héroïne intrépide et attachante mène une mystérieuse enquête et s’émancipe dans un Paris bouleversé par Haussmann...
A conseiller à un public Young Adult (mais pas uniquement !) et à découvrir dès le 12 septembre prochain !

1866. Dans un Paris bouleversé par les grands travaux d’Haussmann, un charbonnier est retrouvé mort, brutalement assassiné. Un coupable est vite désigné. Trop rapidement pour Prospérine, la fille du commissaire adjoint qui veut aider son père à résoudre l’enquête. Mais comment agir dans une société qui muselle les femmes ?

Alors que les dangers la menacent de toutes parts et que sa tante manœuvre pour l’envoyer au pensionnat comme toute jeune fille de bonne famille, Prospérine résiste. Hors de question de se laisser enfermer ! Délaissant corset et crinoline, elle s’élance sur les toits de la ville et prend son destin en main...

Je remercie @Scrineo et @NetGalleyFrance pour cette belle découverte.

D'abord, j'ai été attirée par la jolie couverture en rouge et noir qui met bien en valeur le tempérament impétueux de la jeune héroïne de quinze ans, Prospérine. Ce personnage fougueux, haut en couleurs, est une enquêtrice hors pair qui n'a pas peur d'affronter la mort et son côté sordide. Quand son père l'autorise, sur sa demande, à assister à la dissection du cadavre du charbonnier assassiné sauvagement, elle découvre dans la boite crânienne de cet homme... un rubis ! Bizarre, vous avez dit bizarre....

L'intrigue progressive et cohérente est bien ficelée et le suspense est omniprésent jusqu'au dénouement, tout comme la pointe d'humour qui permet d'alléger l'atmosphère glauque. J'ai particulièrement aimé la description des lieux dans ce Paris Haussmannien très détaillé qui nous plonge dans les quartiers bourgeois de la haute société, mais aussi dans les ruelles mal famées où survivent péniblement les petits ramoneurs.

Prospérine, qui fait la transition entre ces deux mondes, part à l'aventure en s'émancipant des convenances et n'hésite pas à se lier d'amitié avec les plus faibles pour que justice soit rendue. C'est un personnage courageux, plein d'esprit, au grand cœur qui est très attachant par son côté féministe subversif qui n'hésite pas à affronter l'ordre patriarcal pour parvenir à ses fins.

J'ai beaucoup apprécié aussi l'utilisation de l'argot parisien qui donne de l'authenticité au récit et le rend plus vivant, plus amusant aussi. Certaines notes en bas de pages permettent d'éclaircir certaines expressions méconnues, ce qui facilite la compréhension.

Je conseille ce polar historique, qui est aussi un roman d'aventures, à un public Young Adult particulièrement puisque l’héroïne est une jeune fille de quinze ans, mais l'histoire conviendra aussi à un plus vaste public.

Lorsqu'un homme est retrouvé mort, le crâne défoncé, la jeune Prospérine, fille du commissaire adjoint, n'a qu'une idée en tête, aider son père à résoudre l'enquête. Accompagné de Féfé, un jeune ramoneur, elle va tout mettre en oeuvre pour rendre justice et disculper les innocents. Une tâche pour le moins compliquée pour la jeune femme, muselée par une société patriarcale du 19eme.

Un bon roman policier pour les jeunes lecteurs. L'histoire est fluide et prenante, l'intrigue bien menée avec des personnages bien écrits. Une belle découverte.

Date de parution : 12/09/2024.
Merci @netgalleyfrance et @scrineo pour le SP numérique
Note : 5 / 5

J'ai demandé ce roman après avoir lu le résumé. J'ai été intriguée.
Je ne regrette pas et je remercie netgalley et les éditions scrineo d'avoir accepté ma demande pour lire ce livre.
J'ai été emportée dans cette histoire, dans ce paris haussmannien.
Je me suis attachée aux personnages.
Il y a de belles valeurs dans ce roman la famille, les amitiés, la loyauté, le combat pour défendre ses idées, le courage.
J'ai adoré cette enquête. J'ai adoré Prosperine.
J'ai hâte de lire une autre de ses aventures.

Nous sommes en 1866 dans un Paris bouleversé par les grands travaux d'Haussmann. Un charbonnier est retrouvé mort, brutalement assassiné. le coupable est très vite désigné : le chef de la bande des ramoneurs (des enfants, petits qui passent facilement dans les conduits!).
Prospèrine, 15 ans, vit avec son père, commissaire adjoint, depuis la mort de sa mère. Sa tante préfèrerait la voir dans un pensionnat comme toute jeune fille de bonne famille, mais Prospérine aime l'aventure et s'émancipe des convenances. Elle découvre Paris, passe des quartiers bourgeois de la haute société aux ruelles mal famées où elle rencontre les petits ramoneurs. Cette amitié lui ouvre les yeux sur un autre monde et la décide à participer à l'enquête.

J'ai beaucoup aimé la partie enquête, bien ficelée, mais aussi le personnage principal, une jeune fille courageuse, intrépide, au grand coeur, à l'esprit rebelle. Les descriptions de Paris et des différentes parties de la société sont bien décrites et bien documentées. C'est à la fois enrichissant et divertissant.

Un grand merci à Scrineo et à NetGalley pour la découverte de ce roman Young Adult, mais qui plaira, je pense, à tout lecteur fan de polar historique.

L'histoire se passe au 19ème siècle dans un Paris en pleine transformation. En effet, Haussmann y déploie ses riches et larges avenues, transformant ainsi tout le tissu social de la ville. Les pauvres et les travailleurs sont relayés aux portes de la capitale dans des quartiers insalubres, devant vivre dans des conditions épouvantables. Les bourgeois et la haute société peuvent quant à eux s'aventurer dans la rue dans des conditions plus sûres. Dans ce décor finement déployé par l'autrice, on suit Prospérine, fille d'un commissaire adjoint en charge de l'enquête sur un meurtre sordide qui s'est passé à deux pas de chez eux. Père et fille vivent ensemble, la mère étant décédée quelque temps auparavant. On découvre un père aimant, en avance sur son temps qui prend le temps de transmettre à sa fille les cordons de son métier pourtant réservé aux hommes. L'intrigue est simple et bien menée. Certains personnages, en particulier les petits ramoneurs au langage familier de l'argot, sont très attachants. L'héroïne fait preuve d'une grande maturité, de courage et d'ouverture d'esprit. Elle désire s'émanciper et fait preuve d'empathie en se liant d'amitié avec les plus faibles pour que justice soit rendue. Elle est une figure avant-gardiste et féministe.
Je recommande donc vivement ce polar historique, à partir de 12 ans.

Quel plaisir de découvrir le Paris haussmanien, bien différent du Paris actuel. J'ai adoré le personnage de Prospérine, jeune provinciale arrivée récemment à Paris qui va mûrir et apprendre à s'intégrer à cette société parisienne si particulière. Elle va essayer de s'émanciper du rôle de simple épouse qu'on lui promet et va apprendre à connaître ses alliés. En effet, ce n'est pas simple de vouloir devenir médecin quand on est une femme au XIXe siècle !

Mais Prospérine est toujours pleine de ressources et prête à tout pour arriver à ses fins.

Le roman est un beau mélange d'amitié, de quête féministe et un cosy mystery historique mais est également plein d'humour et d'action, bref je le recommande à tous et toutes car Prospérine saura conquérir votre cœur à coup sûr.

Merci encore à Netgalley et aux éditions Scrinéo de m'avoir permis de découvrir ce roman qui paraîtra le 12 septembre prochain.

#jenniferdalrymple #lénigmedurubis #scrineo #scrineo #scrinéo #scrineoeditions #scrineojeunesse

Quelle belle surprise !! Je n'imaginais pas un récit si sombre et si bien ficelé en commençant cette lecture !

En plongeant de l’énigme du Rubis, nous faisons la connaissance de Prospérine, une jeune fille attachante qui brille par son intelligence, sa témérité, sa bienveillance et sa ténacité.
Avec son père, commissaire adjoint, ils n'ont que faire des conventions et de la bienséance, il est temps que les femmes sortent des carcans dans lesquels elles sont enfermées.

Lorsque la jeune fille met le nez dans une affaire de meurtre, elle veut plus que tout aider son père à résoudre cette enquête, quitte à se mettre en danger ! Loin de se retrouver effrayée par les horreurs qu'elle va voir, plus le titre évolue, plus elle prend cette enquête à cœur et comprends les enjeux du haut de ses 15 ans.

A travers son regard, nous faisons la connaissance de Féfé, un jeune ramoneur. Autant dire que le ramoneur et la fille de bonne famille ne sont pas censés se rencontrer, et pourtant, Prospérine va envoyer balader son statut et n'aura pas peur de se montrer aux côtés des Féfé. Nous faisons ainsi la connaissance d'un jeune garçon drôle et attachant. Il utilise un argot qui nous fait bien rire, et qui nous plonge d'autant plus dans cette époque.

Époque, durant laquelle nous découvrons le Paris Haussmannien en pleine transformation. Nous découvrons ainsi ses différentes facettes de ce Paris qui nous est dépeint. Nous découvrons le Paris huppé, le Paris avec les bonnes familles, les personnes qui ont eu la chance d'être nées du bon côté. Puis nous découvrons le Paris plus pauvre, plus dur, dans lequel les hommes et les femmes sont prêts à tout pour se nourrir, des hommes et des femmes qui vivent dans la crasse et dans la misère loin du faste du beau Paris.

Sans oublier que tout cela se déroule au cours d'une enquête bien ficelée et bien menée jusqu'à la dernière ligne. Riche en rebondissements, cette histoire est parfaitement équilibrée entre humour, horreur et tendresse.
Je ne sais pas s'il est prévu de proposer de nouvelles enquêtes de Prospérine Cerisier, mais j'espère que c'est le cas. J'aimerais beaucoup voir grandir et évoluer cette jeune fille dont j'ai aimé faire la connaissance avec ce titre jeunesse.

Je remercie @Scrineo et @NetGalleyFrance pour cette belle découverte.

C'est la couverture qui m'a fait de l'oeil pour ce titre et le résumé n'a fait qu'jouter à ma curiosité ! J'ai eu du mal à le lire au début car le fichier plantait ma liseuse mais après avoir essayé encore et encore j'ai enfin réussi à le lire et je suis vraiment ravie de ma lecture !
Nous sommes en 1866 à l'heure des grands travaux haussmannien dans Paris. On y découvre Prospérine, jeune fille de bonne famille qui rejoint son père, commissaire adjoint dans un commissariat et chargé d'enquêter sur le meurtre violent d'un charbonnier. Loin d'être une fille rangée, Prospérine se passionne pour cette enquête et grâce à son courage, son intelligence et sa détermination, elle aidera son père à trouver le fin mot de l'histoire.
Ce roman jeunesse est idéal pour les lecteurs aimant les enquêtes et les héroïnes fortes, telle Enola Holmes. Ici, le personnage principal s'émancipe des principes qu'on cherche à lui imposer pour montrer que les filles aussi peuvent réaliser de grandes choses et ne sont pas des objets fragiles qui décorent un salon !
L'écriture est fluide et rythmée ce qui en fait un récit prenant, un vrai turn-over !

Un charbonnier est retrouvé mort dans une cour, à Paris, à deux pas de l'immeuble où habite Prospérine Cerisier. Rapidement, les enquêteurs désignent un jeune ramoneur comme étant l'assassin. Mais quelques éléments laissent à penser à Prospérine qu'ils se trompent. Sans qu'elle en mesure véritablement le danger, l'adolescente va mener en parallèle sa petite enquête qui la conduira jusqu'aux portes de la capitale, dans des quartiers insalubres, peu fréquentables pour une demoiselle.
Cette jeune enquêtrice n'a pas froid aux yeux. Elle n'hésite pas à outrepasser les limites imposées aux femmes de cette époque. Une façon d'aborder finement le statut de la femme dans la société de cette moitié du 19ème siècle. Elle se montre tenace, animée par un désir de justice, prête à défendre son prochain, surtout s'il est pauvre. Avec elle, sont véhiculées de belles valeurs comme l'amitié et la tolérance.
En parallèle avec l'enquête qui occupe Prospérine et son père, commissaire adjoint, ce roman offre une image intéressante et détaillée des conditions de vie de la population parisienne et des inégalités sociales en cette année 1866. Ainsi qu'une idée de l'ampleur des travaux gigantesques réalisés par Haussmann qui ont complètement transformé certains quartiers de la ville.
Une intrigue bien ficelée, avec un suspens qui nous tient jusqu'à la fin.
À noter la beauté des illustrations externes et internes de la couverture, ainsi qu'à chaque début de chapitre.

Je remercie @scrineo et @NetGalleyFrance pour cette enquête intéressante et rondement menée.

Ma dernière lecture est sortie en librairie il y a tout juste une semaine et je ne peux que la recommander. On retrouve en effet une légèreté typique du roman jeunesse alliée avec le sérieux et l’inquiétude de l’intrigue. Je me suis totalement laissé porter par la résolution de l’énigme, bien construite et assez surprenante.

L’héroïne est aussi attachante qu’elle est imprudente. J’ai apprécié sa détermination et son caractère, rebelle et féministe. Elle m’a fait penser à une Enola Holmes au Second Empire.

L’ambiance est parfaite pour l’automne, alors foncez si vous en avez l’occasion !